Gérer les troubles du comportement alimentaire

Pourquoi nous soutenir

Les actions de la Fondation Sandrine Castellotti se sont mises en place progressivement et se sont amplifiées en fonction de ses possibilités financières.

Problématique : pourquoi ce besoin et cette obligation ?

Des constats accablants

Les Troubles des Conduites Alimentaires frappent au moins 10% de la population française, principalement des jeunes. Ce sont des troubles graves aux conséquences somatiques et psychiques qui peuvent entraîner la mort dans 5 à 10% des cas. Ils peuvent s’accompagner d’une désocialisation des personnes concernées qui sont l’objet d’une forte discrimination par, entre autres, leur incompréhension des autres. D’où un impact humain, social et économique considérable.  

Seulement 50 à 60% des personnes souffrantes se rétablissent, par absence de professionnels formés (déserts médicaux) et par défaut des connaissances sur les TCA.

Enfin, les droits des usagers ne sont pas respectés, malgré les lois santé successives de ces dernières années et les recommandations de bonne pratique de la Haute Autorité de Santé, autonome, mais faisant partie du Ministère de la Santé. Ce qui est en partie responsable de la chronicisation du trouble.

Des nécessités

Devant ces constats accablants, il est indispensable d’améliorer la situation, afin que s’observent dans l’avenir :

Une amélioration de prise en charge et de la filière de soins

Par un diagnostic précoce, des soins adaptés en appliquant les recommandations de bonne pratique de la Haute Autorité de Santé, ce qui nécessite la formation des professionnels de santé, soins identiques pour tous et toutes et sans inégalité territoriale pour pallier aux déserts médicaux. Ce qui nécessite des actions auprès des pouvoirs publics.

Une amélioration des connaissances sur les TCA et les soins 

grâce à la recherche médicale, fondamentale et clinique.

Des obligations pour la Fondation Sandrine Castellotti

Dès la naissance de la Fondation, ses fondateurs connaissant la situation par leur expérience et avec l’aide de parents et de professionnels de santé au sein du comité de gestion, ont œuvré afin de pallier aux besoins dans les différentes orientations nécessaires et possible. Ils l’ont fait grâce aux dons reçus, les ressources financières de la Fondation ne provenant que de revenus privés.